Patronat et gouvernements s’évertuent à multiplier et à nous imposer des régressions sociales pour maintenir les profits des entreprises et des actionnaires, pour dégrader toujours plus nos conditions de travail et de vie. La poste fut et reste un véritable laboratoire de ces politiques mortifères. Tous les moyens sont bons pour casser les services publics et pour décourager toute résistance du monde du travail. Cela commence par la répression syndicale la plus violente envers les militant.es, y-compris dans leur activité quotidienne !
Non contents d’avoir viré ou révoqué Yann et Gaël, ils veulent maintenant en faire des délinquants condamnés par leur justice. Ceci est inacceptable !
Notre Fédération exige leur relaxe et condamne toutes les attaques contre les militant.es de notre camp social, contre le droit de grève et contre les mouvements de contestation de ce monde que les capitalistes veulent nous imposer.
Notre fédération exige la réintégration de nos camarades qui le demandent car leur licenciement est une décision purement politique de répression. Ces méthodes de plus en plus autoritaires, et celles et ceux qui les mettent en œuvre nous trouveront toujours sur leur chemin.
De la même manière les pouvoirs tentent de dissoudre des organisations qui participent à la construction de mouvements de solidarité internationaliste, antifasciste ou environnementaux. Comme, par exemple, les Soulèvements de la Terre, Urgence Palestine et la Jeune Garde antifasciste.
Face à ces attaques notre camp social doit s’organiser et se coordonner. Nous ne pouvons nous contenter de réagir aux attaques du camp réactionnaire.